Les maisons nobles sur le territoire de Paizay-Naudouin

Bramefan, Tourteron, Les Deffends, Breuil-Tizon, Peuchebrun, etc... autant de maisons nobles sises sur le territoire de la paroisse de Paizay-Naudouin. Page en construction !!!



Tourteron
Se trouvant à environ 2,5 km au Nord-Est de Paizay-Naudouin, ce corps de logis rectangulaire est couvert en tuiles. Sa toiture, aujourd'hui, recouvre également les tours rondes qui l'accompagnent dans la cour, en S.
Une autre tour, découronnée, dans un angle du bâtiment, en N., se confond avec ses murs où subsistent des consoles de bretèches. (Anciens châteaux, manoirs et logis de la Charente - Charles Daras)

Ce logis date du XVIème siècle. Il était, à cette époque, la possession d'une famille Marcirion, originaire vraisemblablement de l'échevinage de Poitiers.
Le 24 mai 1575, Jacques de Chevreuse, écuyer, épousa Jeannette de Marcirion, fille de Louis, écuyer, seigneur de Tourteron, et fit entrer le domaine de Tourteron dans sa famille qui le posséda jusqu'à la Révolution.
De ce mariage naquit Jean de Chevreuse qui épousa Jeanne de Chièvres. Il mourut en 1628.
Aimet de Chevreuse, écuyer, seigneur de Tourteron, faisait profession de la religion protestante ainsi que son père (un allié vraisemblable des La Rochefaton). Il abjura en 1651. Le 3 janvier 1651, il épousa Françoise de Chièvres et fut maintenu noble en 1668. Le 23 février 1684, il rendait hommage pour droits de dîmes à René de Saint-Amant, écuyer, seigneur de Peuchebrun.
Pierre de Chevreuse, écuyer, seigneur de Tourteron, se maria vers 1700.
Antoine de Chevreuse épousa Catherine de Pressac. Il mourut en 1746.
Antoine de Chevreuse, son fils, épousa Marie Massougne des Fontaines, en 1764.
Antoine Alexandre de Chevreuse, l'un de leurs enfants, écuyer, seigneur de Tourteron, posséda également Planchard jusqu'à la Révolution. Louis de Chevreuse, écuyer, seigneur de la Brassière (en Couture ) épousa à Villefagnan, Jeanne Monique Poitevin qui mourut en 1781. Il se remaria en 1784, à Ruffec, avec Louise Brumauld de Montgazon dont il eut Jean-Charles, né le 3 germinal An II, à Villefagnan.
Jean-Charles de Chevreuse paraît être le dernier représentant de cette famille. Capitaine de gendarmerie et maire de Puyréaux (canton de Mansle ) sous Louis-Philippe, il mourut à Mansle en 1877 sans postérité de ses deux mariages.
Au XVIIIème siècle, Les Chagnerasses (commune d'Embourie ) et Le Fouilloux appartenaient aux de Chevreuse.


Jean-Marie Ouvrard nous présente la généalogie des De Chevreuse, seigneurs de Tourteron : http://jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/c/chevreu.htm

Et celle des Hérard, seigneurs de Bramefan : http://jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/h/herard.htm
Voir aussi les liens avec Jouhé (Pioussay) : http://pioussay.wifeo.com/turpin-de-jouhe.php

Ou celles des Faubert, seigneurs des Deffends : http://jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/f/faubert.htm



Bramefan
Au XVIème siècle, il appartenait à Louis Hérard, écuyer, dont la veuve, Jeanne de Parthenay, épousait en secondes noces vers 1580, Antoine Corgnol, seigneur de Tessé.
Pierre Hérard portait «fascé d'argent et de gueules à 9 piles à un lion rampant d'argent, lampassé de gueules brochant sur le tout». 
Il faisait partie du ban de 1635 et mourut en Catalogne en 1646.
Ce fief était encore aux mains des Hérard, à l'époque de la main-tenue de 1666 où Charles Hérard, son fils, fut reconnu noble. En 1665, ce dernier était mineur et placé sous la tutelle de sa mère.
Les Girardin du Deffend possédèrent Bramefan au XVIIIe siècle. On retrouve un Jean Girardin, seigneur de Bramefan, dont le fils, Jean-François, épousa Marie Magdeleine de Chevreuse. Ce fief passa ainsi dans la famille de Chevreuse.
En 1819, il était propriété du sieur Merceron, maire d'Embourie.



Voir encore les Delestang : ils furent seigneur à différentes époques, de Lartige (Jarnac-16), les Brousses, les Tours, le Souterrain (Courbillac-16), Verruyes (châtellenie de Mirebeau-86), le Vivier (Longré-16), Longré, la Morinière, Tignoux (Nercillac-16), la Moujaterie, Villefréard, Cherconnay (le Vivier-Estraingt), (Longré), la Prévôté d'Aubigny, le Breuil (Mauzé), Villemard, Peuchebrun (Paizay-Naudouin-16), les Collines, le Plessis, la Roche-Udon, Sigogne, Rulle (Sigogne-16), Chantemerle. Ils furent aussi qualifiés de marquis de Lestang.

Pèchebrun
Pèchebrun est surtout connu pour son moulin, c'est l'axe des meules qui fait limite entre les communes de Longré et Paizay-Naudouin. Mais c'était aussi un logis noble situé à quelques encablures de l'autre côté de l'Osme, sur le territoire de Paizay-Naudouin.

Le moulin de Pèchebrun (sur l'autre rive -Paizay - on voit des restes du logis)
http://villefagnan.wifeo.com/moulin-de-pechebrun.php

Pêchebrun (Puychebrun, Peuchebrun, Pèchebrun) appartenait à la famille noble des Chabot dont le logis a disparu. Cette usine, comme dit au XIXe siècle, était établie sur un bief dérivant provisoirement une partie des eaux de l'Osme. Il abrite deux meules, est en bon état de conservation. Une turbine a remplacé à la fin du XIXe siècle l'antique roue à aubes. Son axe se situe sur la limite exacte des communes de Longré et Paizay-Naudouin-Embourie. Après-guerre on lui ajoutera un moteur électrique.
Peuchebrun : François Chabot, écuyer, seigneur de Peuchebrun, Marsillé et Jouhé, eut pour frère Joseph Chabot, écuyer, seigneur de Marsillé (1711-1756 ), capitaine.
Jacques Chabot, écuyer, seigneur de Peuchebrun, épousa en 1764 Jeanne Charlotte Gilbert. De ce mariage naquit Nicolas Chabot qui fut baptisé le 17 novembre 1769 à Paizay-Naudouin.
Nicolas Chabot, écuyer, seigneur de Peuchebrun, eut pour fils aîné, Joseph Michel Chabot (1797-1872) qui fut procureur à La Roche-sur-Yon en 1830, lorsqu'il fut destitué.
Adrien Michel Chabot de Peuchebrun (1845-1883 parait être le dernier possesseur de ce logis.
Les Chabot de Peuchebrun portaient «d'azur à deux chabots d'argent posés en fasce, celui du chef regardant à dextre,celui de la pointe, regardant à senextre».
Peuchebrun, lors du recensement de 1790, avait été inclus dans la paroisse de Paizay-Naudouin. Actuellement il se trouve dans la commune de Longré.


Péchebrun, extraits d'actes...
Michel Chabot devient propriétaire du domaine de Péchebrun en 1847 suite à un partage de biens dans sa famille. Puis ce domaine fut vendu par procès-verbal d'adjudication le 31 octobre 1847 à l'étude de Me Bonnisseau, notaire à Paizay-Naudouin, par Michel Chabot, ancien magistrat et propriétaire, demeurant à Fontenay-le Comte (Vendée) - par l'intermédiaire d'un mandataire, Louis né Colas Pommier – une partie du domaine de Péchebrun située en la commune de Longré. D'où ceci : «Le nommé Sauvignon (Francois Sauvignon meunier et cultivateur demeurant à Péchebrun en 1850), se rendit adjudicataire du moulin et divers autres immeubles parmi lesquels se trouvait un pré appelé «pré de gain». Prise de possession à la Saint-Michel 1848)».

A noter qu'il est précisé que la famille Sauvignon afferme le moulin de Péchebrun et la métairie depuis déjà de nombreuses années.
Le moulin de Péchebrun est alimenté par un cours d'eau qui paraît avoir été creusé de main d'homme, le cours d'eau est bordé dans une de ses parties par un pré (pré de Lafont), sur sa rive une digue (ou chaussée large de 3 m) est élevée de 50 cm au dessus du pré. Elle est destinée à permette le fonctionnement du moulin en retenant un volume d'eau suffisant.
Un autre pré (pré de La Font) situé sur Paizay-Naudouin, longeant le bief du moulin mais en laissant un chemin (chaussée de 3m) utile aux travaux d'entretien, sera l'objet d'un long différend et de procès.

Description du moulin en 1850 (tel qu'en 1847)
Un moulin situé à Péchebrun commune de Longré, composé d'une chambre basse, d'un grenier au-dessus, un toit à côté, une autre chambre où se trouvaient deux roues, deux meules avec accessoires à l'usage de cette usine, une écurie, un fenil par dessus, une cour, un petit quéreau contenant 3 ares 25 centiares, confrontant du levant et du midi au chemin, du couchant au pré du moulin et du nord au cours d'eau et au pré gain.


Ferret
Ce fief a appartenu aux vicomtes de Marcillac, conseillers d'Etat. Le 17 mai 1756, Louis de Philippier, seigneur de Ferret, est parrain de Louis de Briand des Allards.
En 1814, la métairie des Allards avait pour propriétaire François Gobinaud-Bois Naudouin.


Le Quereau
Ce domaine était la propriété de la famille de Vasselot qui portait «d'azur à trois javelots d'or posés deux et un, et au guidon d'argent en abîme». (Nobiliaire du Limousin ) Guillaume de Vasselot, écuyer, était seigneur du Quéreau en 1430. Sa famille fut maintenue en 1666.
Gaspard de Vasselot, écuyer, seigneur de La Chaize, du Quéreau, épousa Marie Taveau.
Simon Louis de Vasselot, leur fils, chevalier, seigneur de La Chaize et du Quéreau, fut, à cause de son fief du Quéreau, représenté par le marquis de Ruffec, comte de Broglie, (pas lui en personne car décédé mais son fils) aux Etats Provinciaux de l'Angoumois en 1789. Il vécut de 1729 à 1802.


Les Allards
Louis de Briand était seigneur des Allards en 1756, ainsi que le prouve un acte de baptême de son fils, relevé dans les archives communales déposées à Angoulême :
«Le dix-septième jour du mois de may mil sept cent cinquante six a été baptisé, Louis, né du jour précédent, fils légitime de messire Louis de Briand, seigneur des Allards, et de Dame Jeanne de Briand, ses père et mère. Le parrain a été Louis de Philippier, seigneur de Ferret, et la marraine a été Damoiselle Hélène de Lestang, seigneur de Longré, qui ont signé avec moi. De Pressac, prêtre
En 1815, la famille Poitevin-Loubeau possédait ce domaine.


Fredière
Ce domaine appartenait aux Deprez, famille maintenue en 1666, selon M. Favraud.
H. Beauchet-Filleau signale que le comte de Perlongue, officier général, aurait été seigneur de Fredière.

Christophe DESPREZ, écuyer, porte :
  • 1) De gueules à deux chevrons d'or. (Nobiliaire du Limousin)
  • 2) D'azur à deux chevrons d'or. (Dictionnaire Sainte-Anne)
Desprez, sieur de Fredière, paroisse de Paizay-Naudouin.
I) Louis Desprez, chevalier, marié avec Guillamette de Saint-Gilles. Hommage rendu audit Louis, le 3 septembre 1437.
II) Guyon Desprez, marié avec Françoise de Viron. Arrentement fait par Jean Guichard, écuyer, sieur de Bariou, et Mathurine Desprez, sa femme, audit Guyon, son frère, des biens à elle appartenant par le décès de Louis et Saint-Gilles ses père et mère, du 29 juillet 1508.
III) Mathieu Desprez, marié avec Guyonne de Méricourt. Mariage de Jacques Prévot, écuyer, avec Robinette Desprez, fille dudit Guy et Viron, par lequel elle renonce à tous ses droits en faveur de Mathieu, son frère, du 18 juillet 1535.
IV) Christophe Desprez, seigneur de Fredière, marié le 5 mars 1590 avec Charlotte Geoffroy.
  • La famille Geoffroy est noble et ancienne. Elle a prouvé, dit Clairambault, depuis 1450, mais sans illustration, et paraît venir des compagnies d'ordonnances. Elle s'est éteinte à la fin du XVIIIe siècle.
    .
  • A noter qu'un René Geoffroy, écuyer, seigneur des Bouchauds, épousa d'abord le 8 décembre 1622, Marguerite de Fargues de Lavedan, puis Jacquette Sauvestre de Clisson, qui devenue veuve, fit donation le 12 décembre 1675, en faveur de Jean Desprez, chevalier, seigneur de Fredière, de tous ses domaines et acquêts.
    Ils eurent :
    Marguerite Desprez, dame du Cluzeau (Saint-Maurice-des-Lions), née vers 1600, veuve de Charles-Louis Barbarin, écuyer, seigneur du Cluzeau, qu'elle avait épousé par contrat du 26.04.1627 (Foucauld, notaire royal à Saint-Fraigne, Charente). Elle épousa en la chapelle de Chez-Fourot en Saint-Maurice-des-Lions (Charente) le 20 juillet 1636 et par contrat reçu Duboys notaire royal à Confolens le 27 suivant, Jean Dupin, écuyer, seigneur des Fougères (en Bussière-Boffy, Haute-Vienne) et de Bussière-Boffy en partie. Il demeurait au lieu noble du Cluzeau en Saint-Maurice-des-Lions (Charente), qui lui venait de sa femme, et parfois à la Courtaudie.
V) Philippe Desprez, marié le Ier novembre 1625 avec Marie Raymond.
VI) Jean Desprez, marié le 27 février 1653 avec Louise de Sescaud.



Le Rondeau
Louis Alexandre, comte de Culant, propriétaire du Rondeau, a comparu avec trois voix aux Etats Provinciaux de 1789, en tant que repréentant de l'Ordre de la Noblesse.
Le comte, brigandier des armées du roi, était le fils du comte François-Louis de Culant d'Anqueville, lieutenant du roi à la Martinique et de Louise Charlotte de Besnard. Il naquit en 1733. Il épousa Marie Jeanne Monique Poitevin de Lépinière.
Aux Etats Généraux de 1789, il fut élu second député de la noblesse d'Angoumois. Il mourut sans postérité en 1799 au château d'Anqueville.

Alexandre-Louis de CULANT, comte de CULANT, seigneur d'Anqueville.
Il fut baptisé à Saint-Même le 27 juillet 1733. Il ne reçut les cérémonies du baptême que le 17 novembre 1734 (Registre paroissial de Saint-Même). Il eut pour parrain René-Alexandre de CULANT, marquis de CULANT, chevalier, seigneur des châtellenies de Ciré, Saint-Même, les Fraigneaux, etc... et pour marraine Jeanne d'Aiguières, épouse dudit marquis.
Il devint lieutenant au régiment de Beauvaisis le 26 octobre 1746, capitaine au régiment de Beauvoisis en 1758, maréchal des logis des grenadiers à cheval en 1765, maître de camp de cavalerie en 1769, brigadier des armées du Roi, le 5 décembre 1781 (grade créé par Louis XIV en 1668, correspondant à celui de maréchal de camp), et enfin maréchal de camp en 1790.
Il fut élu en 1789, avec le marquis Claude-Anne de Saint-Simon, député de la noblesse en Angoumois, aux Etats Généraux.
Il décéda à
son château d'Anqueville le 29 fructidor an VII (15 septembre 1799).
Après la mort de sa veuve, décédée le 30 avril 1824 (Etat civil de Saint-Même), le domaine d'Anqueville fut vendu par les héritiers.
Il avait épousé Marie-Jeanne-Monique Poitevin de l'Epinière (née à Villefagnan), fille d'Henri Poitevin-Loubeau, seigneur de Lespinière et de la Cantinolière; et de Marie Girard.
Elle décéda sans postérité, à Saint-Même le 30 avril 1824.


Le Breuil-Tizon
Pierre de Callières, écuyer, seigneur du Breuil-Tizon, fit partie du ban de 1635.
Il portait «d'argent à trois fasces contrebretessées de sable

Peut-être sa généalogie, à confirmer :

http://jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/c/cailler.htm

Le Breuil-Tizon était la propriété de Pierre Pichot, député à l'Assemblée Préliminaire du Tiers Etat qui se tint à Angoulême en 1789, puis maire de Paizay-Naudouin en 1791.
Alexandre Rullier (bois Chef-Boutonne) achète Le Breuil-Tizon après la guerre de 1939-1945 : http://pioussay.wifeo.com/scierie-rullier-bois.php

Les Deffends
Vernou des Deffends, seigneur des Deffends, fut maintenu noble en 1666. Il portait «d'azur à un croissant contourné d'argent.» Généalogie à voir...
François Girardin, seigneur des Deffends (1708-1767), fut procureur fiscal de Loubillé. Il épousa Madeleine Ménard.
Jean Girardin, son fils, seigneur des Deffends, de la Tour de Ray (Raix : m(is par quel hasard ?), de Bramefan, capitaine d'infanterie, assista, en 1767, à l'inhumation de son père. On lui devait une rente en 1782. Il avait épousé Marie Pélagie Dauvrie (ou Douvry). Elle mourut le 6 août 1806, à l'âge de 59 ans. Jean Girardin était décédé le 27 novembre 1811. Il avait environ 75 ans.
Leur fils, Jean-François, seigneur des Deffends et de Bramefan, baptisé le 20 avril 1772, devint officier de grenadiers. Il épousa, le 3 mars 1794, à Paizay-Naudouin, Marie-Magdeleine de Chevreuse, fille d'Antoine de Chevreuse et de Marie de Massougne. Ils eurent au moins trois enfants qui naquirent à Paizay-Naudouin : Antoine Jean-François Eugène, né le 27 décembre 1794, Senemond Victor, né le 21 octobre 1797, Marie Pélagie Auvrine, né le 10 mars 1801.

Ce fief passa dans la famille Bouquet Labrange vers 1812. Elle le possède encore de nos jours. Charles Bouquet dut l'acquérir au début du XIXème siècle.
Les Bouquet de La Brange étaient originaires de Longré. Ils résidaient à Bellavaud.
L'étude des archives des deux communes permet de reconstituer approximativement la généalogie de la branche des Bouquet de La Brange. Le plus ancien membre de la famille qu'il est possible de retrouver est Daniel Bouquet, sieur de Bellavaud, qui épousa Nicole Cornu.
Leur fils, Charles Bouquet, épousa Louise Maillet, le 19 novembre 1739. Ses parents étaient décédés et il était encore mineur.
Louis Bouquet, sieur de Bellavaud, épousa Marguerite-Damagnoux. Il mourut le 11 décembre 1823 à l'âge de 79 ans. Un frère du notaire, Pierre Bouquet, sieur de Bellavaud, épousa le 9 janvier 1775, Marie-Françoise Brumauld de Moulineuf. Un acte de reconnaissance de rente seigneuriale, daté du 5 avri1 1781, mentionne que le sieur Pierre Bouquet de La Brange et demoiselle Françoise Brumaud, son épouse, étaient redevables de 25 livres envers le seigneur prieur haut justicier et décimateur du prieuré de Couture d'Argenson et Longré, son annexe, dom Pierre Terrasse, religieux bénédictin, congrégation de Saint Maurs. Il s'agit donc du même Pierre Bouquet.
Louis Bouquet et Marguerite Damagnoux eurent au moins deux fils : Henri Louis Bouquet qui fut baptisé à Longré le 12 février 1780 et Charles Bouquet, baptisé le 20 mai 1782, qui vint demeurer aux Deffends.

 
 



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