Le collège Albert-Micheneau
Site du collège : http://etab.ac-poitiers.fr/coll-villefagnan/ Le collège : un outil précieux pour le canton de Villefagnan !
Le collège de Villefagnan En 1960, en raison de l'afflux croissant des enfants vers le secondaire, il fut décidé de créer un GOD (Groupe d'observation dispersée) dans les locaux de l'école primaire publique de Villefagnan. Le premier directeur était M. Pourageaud, maire de Villefagnan.
La montée en puissance se fit progressivement, classe par classe, la 6e s'installe dans la salle de justice (secrétariat de mairie) en septembre 1960, la 5e (dans l'école de garçons à l'arrière de la mairie) en septembre 1961. Ce GOD ne comportait jusqu'en 1966 que deux classes : 6° et 5°. Il fallait ensuite poursuivre à Ruffec ou à Chef-Boutonne. Les classes de 4e et 3e sont créées en 1966, un préfabriqué est acheté par la commune et posé à l'emplacement de l'école actuelle. Le collège est institutionnalisé en 1970.
[Le collège d’enseignement général (ou CEG) était une filière d’enseignement scolaire en France de 1960 (entrée en vigueur de la réforme Jean Berthoin) disparue en 1977 avec l’entrée en vigueur de la loi Haby (1975). En vertu de l'article 28 du décret no 59-57 du 6 janvier 1959, le collège d’enseignement général dispense un « enseignement général court », aussi appelé moderne court, qui comprend deux années de cycle d’observation, communes à l’enseignement général long et à l’enseignement technique suivies de trois années d’enseignement spécifique.
Les collèges d’enseignement général ont été constitués soit par transformation d’anciens cours complémentaires, soit par la constitution de « groupes d’observation dispersés » (GOD) associés à des écoles primaires, à raison d’un au moins par canton.
En 1963 est institué un « premier cycle » de quatre ans (de la 6e à la 3e) qui regroupe l’enseignement général long et court, ainsi que des « classes de transition » pour les élèves ne pouvant suivre le cycle d’observation sans avoir atteint l'âge de fin de l'instruction obligatoire. Cette réforme, mise en œuvre par le décret no 63-793 du 3 août 1963, crée des collèges d’enseignement secondaire (CES) comportant, eux, des sections classiques, moderne (long et court) et transition-pratique (les CEG, eux, ne comportant pas de filière classique). Les collèges d’enseignement général ont été organisés par le décret no 64-1019 du 28 septembre 1964.
La loi Haby de 1975 crée un « collège unique » sur la base des CEG et des CES.]
(Si quelqu'un possédait une photo du GOD, je serais intéressé pour la publier ici, merci...)
Cette photo avec Guy Pourageaud a été prise contre (à l'est) la maternelle.
En voilà une : http://copainsdavant.linternaute.com/photo/6e-ou-5e-ecole-primaire-villefagnan-3991544 En 1970, ce GOD reçut l'appelation CEG (Collège d'Enseignement Général) et comportait alors 4 classes, de la 6° à la 3°.
Il était implanté dans l'école primaire puis se sont ajoutées des bâtiments préfabriqués dans la zone de l'école actuelle et sur le champ de foire.
Les préfabriqués
3 février 1966, le conseil municipal de Villefagnan décide pour 38 850 fr de commander à une entreprise bordelaise un préfabriqué de deux classes (sanitaires construits par une entreprise locale) pour les 4e et 3e. (Vendu 500 fr à Daniel Debord, maire de Brettes le 25 février 1981.)
3 juillet 1969, emprunt au département d'un groupe de deux classes mobiles.
15 mai 1970, emprunt au département de deux groupes de deux classes mobiles. 14 mai 1971, emprunt au département de deux groupes de deux nouvelles classes mobiles pour mettre sur le champ de foire.
(Selon plan ci-dessous.) Total préfabriqués à l'emplacement de l'école primaire actuelle : 4 classes.
Total préfabriqués à l'emplacement du champ de foire : 6 classes.
Jean-Marie Pourageaud, élève en 1973, a participé au déménagement. Patrick Gastard, a quitté le collège en 3e en 1974. Ils m'ont fourni de précieux renseignements.
Tout renseignement m'intéresse ! Merci.
Deux préfabriqués de deux groupes de deux classes sur le champ de foire.
Au moment où a été pris ce cliché il n'y avait pas encore tous les préfabriqués.
Un groupe a rejoint le collège après la construction de ce dernier, l'autre acheté 500 fr par la commune est encore opérationnel derrière la salle des fêtes. Il avait été affecté pour une classe au club de rugby, pour l'autre à la société de musique, et le couloir central était réservé au collège pour stocker le matériel de sport.
22 novembre 1971, le maire indique au conseil municipal que pour la rentrée 1972 au CEG il faudra encore emprunter 6 classes préfabriquées au parc départemental.
6 juin 1972 : emprunt "prévu" au département d'un groupe de trois classes mobiles pour mettre sur le champ de foire.
20 juin 1972 : emprunt "prévu" au département d'un groupe de deux classes mobiles pour mettre sur le champ de foire.
Deux délibérations mais il n'y eut certainement pas d'emprunt effectif (à vérifier)...
L'emploi des préfabriqués une fois le CEG construit...
17 janvier 1974, la commune emprunte 650 000 fr concernant la part à sa charge dans le financement du CEG (total : 3 454 451, 41 fr).
19 janvier 1974, la commune construira le CEG sur sa parcelle dite «La vigne aux Tribottes» et s'engage à préparer le terrain en tout ce qui sera nécessaire. Le 10 mai 1974, la commune achète au département pour 500 fr un groupe de préfabriqué de deux classes derrière la salle des fêtes où il est encore (rugby). Le 10 mai 1974, transfert accordé par le département d'un groupe de un préfabriqué de deux classes vers le nouveau CEG route de Chef-Boutonne.
Le CEG s'installait dans ses nouveaux locaux le 15 septembre 1974. Il comptait environ 300 élèves et 18 professeurs. Il reçut à la demande des anciens élèves et parents-d'élèves le nom d'Albert-Micheneau en 1979, son directeur décédé en mars 1974 avant que ce collège n'entre en service.
Le 1er janvier 1976, le CEG était nationalisé et devenait Collège.
Dans les années 1980 (vers 1988), le SIVOM fit construire l'aire couverte. Ce local ne respecte plus les normes actuelles (dimension, chauffage) et attend une succession.
A la même époque, l'effectif des collégiens chute rapidement. Le maire fait appel à ses amis (Charmé, Bessé, etc.) pour obtenir leur rattachement au collège de Villefagnan. L'affaire se fit et permis le maintien du collège.
Plus tard, le conseil général effectuera de gros travaux lorsque nécessaire : http://villefagnan.blogs.charentelibre.fr/archive/2013/07/12/villefagnan-le-college-micheneau-fait-ses-travaux-de-vacance.html Mais il préfère pour réduire la facture assurer un entretien régulier du collège et réaliser les mise aux normes (ex : ascenseur accès handicapés) en temps nécessaire. Le collège Albert Micheneau fait le point des travaux à programmer (archives 2007)
Jean-Pierre Denieul, président de la commission de l'éducation, de la jeunesse et des innovations au Conseil général de la Charente, s’est rendu à Villefagnan pour faire un tour des travaux à programmer au collège.
«Le collège de Villefagnan a bien vieilli depuis sa mise en service en 1974, a-t-il agréablement remarqué, c’est l’œuvre d’une équipe d’entretien efficace, d’enseignants motivés à conserver en bon état leur outil de travail, et d’élèves respectueux de leur environnement». Cela permet de se concentrer sur des travaux lourds et de ne pas gaspiller argent et énergie à retaper l’établissement au jour le jour et au fur et à mesure des dégradations. «Le collège est très propre, les peintures sont en parfait état» dit-il en connaisseur voire en tant que principal de collège.
Les investissements lourds sont très souvent le fait de mises aux normes : accès handicapés avec ascenseur, déplacement d’armoires électriques, cuisines. Le self a été refait en 2004. Mais il reste à changer cette année le lave-vaisselle qui date des débuts. «Pour les cuisines, lorsque c’est possible, il faut rechercher une mutualisation avec les autres écoles communales» explique l’élu. L’atelier de maintenance sera mis aux normes cette année, il avait été aménagé dans l’ancienne réserve des cuisines. Cet atelier est de la plus haute importance quant à l’entretien journalier. Au delà, il permet de réaliser des travaux complémentaires à moindre coût. En exemple modifier l’installation du tableau multimédia interactif dans la salle d’informatique où une vingtaine d’ordinateurs sont installés en réseau. Des vœux échelonnés par priorité...
Le principal Dominique Leporati a établi une liste de vœux en matière de travaux. Pour 2008, il souhaite rénover la salle de sciences physiques pour la rendre totalement fonctionnelle. Puis fusionner la salle d’arts plastiques avec la salle de musique pour accroître le volume de chacune. «Il me suffira d’aménager l’emploi du temps, dit-il, une seule salle suffit pour les deux matières». Jean-Pierre Denieul s’est rendu dans les salles de cours. Il a la conseillère générale des jeunes, et félicité les élèves pour leur participation active à la bonne tenue de leur établissement.
L’agrandissement de l’aire couverte a été évoqué par le principal Dominique Leporati. «J’ai écrit au président de la communauté de communes pour expliquer que le collège devait faire refaire son plateau sportif afin d’éviter des accidents. Mais dans le cas où la nouvelle aire couverte s’y installerait, ces travaux seraient inutiles». De même quant à la sécurité devant le collège au moment de l’embarquement et du débarquement des bus de ramassage scolaire. Le projet avancera à grands pas et séparera la rue et l’arrêt des bus, un ralentisseur sera aménagé. Villefagnan a craint un temps de perdre son collège en 2008.
"Plus de peur que de craintes, le collège ne partira pas. Le collège fut construit en 1974 par la commune de Villefagnan. Le terrain donné au syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) qui le passe à son tour à la communauté de communes en décembre 1995.
Mais il restait des écritures en retard...
«Le collège est passé au département en 2004, pas le terrain, explique le président Alain Etourneaud, cela ne nous coûte rien de le céder à titre de régularisation». Accord unanime des délégués."
Rappels historiques (cliquer)
La réforme Berthoin (1959) rend la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, et crée des CEG et CET.
L'ordonnance du 6 janvier1959 prolonge l'obligation scolaire de 2 ans et la porte à 16 ans révolus "pour les enfants qui atteindront 6 ans à partir du 1 er janvier 1959" (la mesure deviendra effective seulement en 1967, pour les générations nées à partir de 1953).
Le décret du 6 janvier 1959 institue un cycle d'observation, ouvert après l'enseignement élémentaire et comportant, avec la progression normale des études, l'observation des aptitudes des enfants ; mais les "classes qui constituent le cycle d'observation font partie intégrante de l'établissement où elles sont installées". Il n'y a donc pas création d'écoles moyennes autonomes d'observation et d'orientation.
La réforme de 1959 échoue ainsi sur un point essentiel : l'orientation. En effet, le cycle d’observation n’entraîne aucune redistribution en 4ème des élèves qui continuent leur scolarité dans le type d’établissement au sein duquel ils l’ont commencée. Ce constat guide la réforme du ministre de l’Éducation Christian Fouchet et du recteur Capelle.
La réforme Fouchet-Capelle de 1963
Par décret (n° 63-793), les procédures d’observation et d’orientation sont étendues à toutes les classes du premier cycle. Les orientations décisives sont ainsi reportées de deux années, à la fin de la 3ème.
Ensuite, la réforme Capelle-Fouchet (3 août 1963) crée les CES (collèges d’enseignement secondaire) qui vont réunir dans le même établissement «toutes les formes d’enseignement entre la fin des études élémentaires et la fin de la scolarité obligatoire».
Les CES comprennent désormais trois filières :
- celle de l'enseignement général long (classique ou moderne long) aboutissant aux lycées et sanctionné par le baccalauréat ;
- un enseignement général court complété d'une classe complémentaire ou conduisant à l'enseignement professionnel en deux ans (CET) ;
- un cycle de transition (6ème et 5ème) suivi d'un cycle terminal pratique.Ce rapprochement géographique de sections différentes va constituer une étape décisive vers l’unification. Elle sera effective avec la réforme Haby (loi du 11 juillet 1975, décrets du 28 décembre 1976) : «D’une part, elle unifie les structures administratives du premier cycle, abolissant toute différence entre CEG et CES, qui deviennent purement et simplement des collèges. D’autre part, elle unifie les structures pédagogiques du cycle d’observation, abolissant toute forme de filière : les sections doivent désormais être “indifférenciées”» (PROST, 1992, p. 87).
Le collège unique est né et l’école primaire va devenir une propédeutique de ce collège : «La généralisation du collège et sa séparation d’avec l’école primaire modifient en effet radicalement la mission de celle-ci. Elle n’a plus la charge exclusive de préparer ses élèves à la vie; elle se contente de les conduire jusqu’à la sixième». (PROST, 1992, p. 61)
Problèmes d'effectifs
Les maîtres des CEG appartenaient au corps des instituteurs jusqu'à ce que le gouvernement décide d'en faire, en 1969, des PEGC : Profs d'enseignement général de collège.
«Comme le temps pressait, on choisit non d’améliorer la formation de tous les instituteurs, mais de ceux-là seuls qui enseignaient en CEG : c’est la création des CAPCEG et de centres pour les préparer (décrets du 21 octobre 1960). Le corps des instituteurs risquait donc d’éclater, ce qui se produit en 1969, avec la création des professeurs du CEG, corps académique nouveau (décret du 30 mai 1969).» (PROST, 1992, p. 57-58)"
Il reste à faire reconnaître les personnels des collèges nouvellement crées. IUn Certificat d'Aptitude Pédagogique sera créé pour les CEG et marquer la différence entre instituteurs du primaire et titulaire de ce certificat. En 1962, on parle d'harmonisation des horaires et des salaires des professeurs certifiés et des maîtres de Cours Complémentaires. Les professeurs des Cours Complémentaires avaient 24 heures de cours et sont passés à 18 heures sans heures supplémentaires.
Du cours complémentaire au CEG (source Wikipédia) Le décret 59-57 du 6 janvier 1959 portant réforme de l’enseignement public transforme les cours complémentaires en collèges d'enseignement général (CEG), où l’enseignement dure quatre ans. La même année la loi Berthoin porte de 14 à 16 ans l’âge minimum de la fin de la scolarité et institue la fin progressive des classes de fin d'études. Du "petit" lycée au CES En 1963 sont créés les collèges d'enseignement secondaire (CES) destinés à remplacer les premiers cycles des lycées : le lycée fait désormais suite au collège. Mais dans le cadre du CES, se maintiennent des filières très hiérarchisées. La filière I a comme objectif de mener les élèves au lycée, la filière II de les mener au collège technique, la filière III d'assurer la transition vers la vie active. Il existe peu de passerelles entre les cursus. CES ET CEG se muent en collèges La Loi Haby de 1975, en regroupant les CEG et les CES sous le nom simple de collège, crée le «collège unique» mettant ainsi fin aux filières. Dans les faits l’usage massif du redoublement permet de continuer l’orientation d'une partie des élèves vers l’apprentissage et la vie active dès la fin de la cinquième ou de la quatrième. De plus les classes de niveau se substituent aux filières. Les élèves les plus faibles se retrouvent dans des classes de transition, les classes pré-professionnelle de niveau. Ce n’est qu’au cours des années 1980, que la fréquence des redoublements diminue et que l’orientation précoce à la fin de la cinquième ou de la quatrième disparait. À la fin des années 1980, 90 % des élèves vont jusqu’en troisième contre 70 % au début de la décennie.
Problèmes d'effectifs dans les collèges...
Les maîtres des CEG appartenaient au corps des instituteurs jusqu'à ce que le gouvernement décide d'en faire, en 1969, des PEGC : Profs d'enseignement général de collège.
| ALBERT MICHENEAU (1932-1974) Né le 3 mars 1932 à Saint-Laurent-de-Céris (16), mais est allé résider à Matha (17). Vers 1950, il s'installe à Cressé, puis entre à l'école normale d'Angoulême. Premier poste à La Faye de 1955 à 1960, puis il sera professeur de mathématiques au collège (CES) de Ruffec jusqu'en 1969. Il dirige en même temps le GOD de Villefagnan et fait installer des préfabriqués supplémentaires sur le champ de foire de 1972 à 1974, ensuite il oeuvre à la construction du collège actuel érigé entre février et août 1974. Malheureusement il décèdera à Bordeaux le 13 mars 1974... Photo figurant à l'entrée du collège. |
Heureux collégiens de Villefagnan, ils iront apprendre à nager à Ruffec ! Vous êtes un élu ? Avant de lire l'article suivant, un conseil : veuillez vous assoir ! En lisant ça, les élus de la CDC du pays de Villefagnan vont pouvoir rêver... Désormais taux XL : www.charentelibre.fr/2012/10/15/note-tres-salee-taxe-fonciere
A la rentrée 1974, le directeur était M. Coustau.
Alain Damy est arrivé comme professeur de sport à la rentrée 1974 : "Nous faisions la gym sous le préau s'il pleuvait ou dans la salle des fêtes de Villefagnan, j'avais cosntruit des buts de hand et un poteau de basket, et un cheval d'arçon. C'était spartiate mais la salle était confortable. Nous "profitions" aussi des terrains vagues où s'est construit le stade de football".
Ci-dessus, carte postale vendue par le Foyer du Collège en 1976.
Le lotissement était préparé mais aucune maison ne semble encore construite. Le terrain de football n'existait pas encore. Le collège était en vacances.
A droite et derrière le grand bâtiment, sur le parking des enseignants, on aperçoit deux préfabriqués assemblés, vestiges de l'ancien CEG/GOD, réutilisés pour abriter les 6e à 3e de transition, et les technos.
Le collège à la fin des années 1970 avant la construction de l'aire couverte (photo Alain Damy à bord de son ULM).
A gauche et derrière le grand bâtiment, sur le parking on aperçoit deux préfabriqués assemblés, vestiges de l'ancien CEG/GOD, réutiliser pour abriter les 6e à 3e de transition.
Inauguration : le 18 décembre 1974, vous êtes invités, suivez le cortège.
Le collège fut nationalisé le 1er janvier 1976 (L'Avenir du 12 février 1976 : si !).
A défaut de gymnase, une aire couverte en 1988
Pas assez grande, pas de chauffage, sur le goudron, pas de vestiaires, pas de douches, pas de sanitaires, le minimum lors de sa mise en service. Progressivement des verrues seront construites du côté ouest, mais cette aire couverte ne sera jamais un gymnase.
La communauté de communes a monté un dossier : après avoir pensé l'agrandir, on envisage de construire au sud un gymnase totalement adapté. Mais avec le regroupement de communautés de communes, il faudra sans doute attendre... un miracle.
Vers 1988, à gauche, une aire couverte (gymnase non chauffé) sera réalisée par le SIVOM. Un nouveau gymnase est actuellement projeté au sud sur le terrain de sport à l'extérieur. Un petit chemin permet de se rendre à proximité et plus au sud encore, sur le stade municipal.